Valérie Ekoumé, une voix soul

Une rencontre Franco-Camerounaise
Comment définir Valérie Ekoumé ? Incontestablement : par sa voix. Logique, me direz-vous pour une chanteuse. Soit, commençons donc par sa voix douce et chaude… Un souffle de saxo aux accents d’Afrique qui vous emporte vers de nouveaux horizons ensoleillés. Si cette voix s’unit volontiers à de suaves mélodies, elle se prête sans fausse note à des rythmes échevelés où batterie et percussion sont rois. Qui pourrait croire qu’une telle voix habite ce petit bout de femme aux yeux pétillants ? Et pourtant, jugez-en par vous-même (lien Youtube)
Née dans une famille d’artistes, puis formée à l’American School Of Modern Music de Paris, Valérie compte à son actif de prestigieuses collaborations : Youssou Ndour, Alain Barrie?re, Maceo Parker, Passi, MC Solaar, Papa Wemba, pour ne citer qu’eux. 
Celui qui la fera véritablement exploser, c’est Manu Dibango avec lequel elle collabore au sein du Soul Makossa Gang et du Maraboutik Big Bang. A l’image d’un orfèvre travaillant une pierre précieuse, Monsieur Dibango la polit et la révèle au grand public. La choriste prend alors son envol pour réaliser son 1er album : Djaalé, ce qui signifie « Allons-y ! ». Un titre qui correspond assez bien à  sa personnalité enthousiaste, positive et emplie de bienveillance. Artiste complète, elle signe ses textes (non sans éprouver parfois quelques difficultés, avoue-t-elle) et compose ses musiques. Celles-ci fusionnent ses origines, ses coups de cœur, ses inspirations pour livrer un album plein de rythmes et de fraîcheur. En écoutant Valérie, certaines images viennent instantanément à l’esprit. Fermez les yeux et laissez-vous porter !  Du sable ocre, un lion, un village africain… une autre chanson, et c’est un club de jazz new-yorkais, un piano-bar qui apparaît… le CD continue de tourner et vous voilà, dans une danse endiablée. 
Malgré sa jeunesse, l’artiste a pas mal bourlingué dans les Festivals tels que le Womad Jazz a? Vienne, Ziget et Couleur Cafe?. Mais l’amour a fini par lui faire poser ses valises en Haute-Saône, il y a 3 ans. Elle n’est d’ailleurs pas tout à fait inconnue du public local puisqu’elle s’est produit au festival Musicoul’ 2015  de Coulevon. Une rencontre surprenante au pays des peintres Gérôme et Muenier. 
Ma Haute-Saône préférée
L’anecdote : C’est l’amour qui m’a guidé vers la Haute-Saône. Je suis venue  à Vesoul à de nombreuses reprises pour passer des vacances chez mon meilleur ami, qui depuis est devenu mon compagnon. Avant j'habitais à Paris, cela fera bientôt 3 ans que je suis installée à Pusey et que j'y suis très bien ! 
Mon plat favori : 
La saucisse de Morteau, dans toutes les formes possibles et imaginables!
Mon lieu préféré : 
Je suis tout à fait  incapable de choisir un seul et unique lieu, par contre je dois avouer que le ciel de Haute Saône me subjugue de par sa beauté. Surtout au début de l'automne, les couchers de soleil sont magnifiques c'est un mélange de rouge orangé, couleurs qui se marie parfaitement avec le gris des nuages. J'adore...
Un événement symbolique : 
La Sainte Catherine bien sûr!!! La première fois que j'ai assisté à cet évènement j'ai halluciné. La foule, la nourriture, le pain d'épices et les cochons à sifflet, ajoutons à ça les petites catherinettes qui se baladent avec leurs chapeaux. Ambiance garantie.

Une rencontre Franco-Camerounaise

Valérie EkouméComment définir Valérie Ekoumè  ?
Incontestablement : par sa voix. Logique, me direz-vous pour une chanteuse. Soit, commençons donc par sa voix douce et chaude… Un souffle de saxo aux accents d’Afrique qui vous emporte vers de nouveaux horizons ensoleillés. Si cette voix s’unit volontiers à de suaves mélodies, elle se prête sans fausse note à des rythmes échevelés où batterie et percussion sont rois. Qui pourrait croire qu’une telle voix habite ce petit bout de femme aux yeux pétillants ? Et pourtant, jugez-en par vous-même, en cliquant ici.

Née dans une famille d’artistes, puis formée à l’American School Of Modern Music de Paris, Valérie compte à son actif de prestigieuses collaborations : Youssou Ndour , Alain Barrie?re, Maceo Parker, Passi, MC Solaar , Papa Wemba, pour ne citer qu’eux. 

Celui qui la fera véritablement exploser, c’est Manu Dibango avec lequel elle collabore au sein du Soul Makossa Gang et du Maraboutik Big Bang. A l’image d’un orfèvre travaillant une pierre précieuse, Monsieur Dibango la polit et la révèle au grand public. La choriste prend alors son envol pour réaliser son 1er album : Djaalé, ce qui signifie « Allons-y ! ». Un titre qui correspond assez bien à  sa personnalité enthousiaste, positive et emplie de bienveillance.

Artiste complète, elle signe ses textes (non sans éprouver parfois quelques difficultés, avoue-t-elle) et compose ses musiques. Celles-ci fusionnent ses origines, ses coups de cœur, ses inspirations pour livrer un album plein de rythmes et de fraîcheur. En écoutant Valérie, des images viennent instantanément à l’esprit. Fermez les yeux et laissez-vous porter !  Du sable ocre, un lion, un village africain… une autre chanson, et c’est un club de jazz new-yorkais, un piano-bar qui apparaît… le CD continue de tourner et vous voilà, dans une danse endiablée. 
Malgré sa jeunesse, l’artiste a pas mal bourlingué dans les Festivals tels que le Womad Jazz a? Vienne, Ziget et Couleur Cafe?. Mais l’amour a fini par lui faire poser ses valises en Haute-Saône, il y a 3 ans. Elle n’est d’ailleurs pas tout à fait inconnue du public local puisqu’elle s’est produit au festival Musicoul’ 2015  de Coulevon . Une rencontre surprenante au pays des peintres Gérôme et Muenier

L’anecdote : C’est l’amour qui m’a guidé vers la Haute-Saône. Je suis venue  à Vesoul à de nombreuses reprises pour passer des vacances chez mon meilleur ami, qui depuis est devenu mon compagnon. Avant j'habitais à Paris, cela fera bientôt 3 ans que je suis installée à Pusey et que j'y suis très bien ! 

Ma Haute-Saône préférée

  • Mon plat favori : La saucisse de Morteau, dans toutes les formes possibles et imaginables!
  • Mon lieu préféré :  Je suis tout à fait  incapable de choisir un seul et unique lieu, par contre je dois avouer que le ciel de Haute Saône me subjugue de par sa beauté. Surtout au début de l'automne, les couchers de soleil sont magnifiques c'est un mélange de rouge orangé, couleurs qui se marie parfaitement avec le gris des nuages. J'adore...
  • Un événement symbolique : La Sainte Catherine bien sûr!!! La première fois que j'ai assisté à cet évènement j'ai halluciné. La foule, la nourriture, le pain d'épices et les cochons à sifflet, ajoutons à ça les petites catherinettes qui se baladent avec leurs chapeaux. Ambiance garantie.

Retrouvez Valérie Ekoumè en concert le 20 décembre au New Morning à Paris 


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